« Le dernier poilu est mort » , L’Est Républicain, 13 mars 2008.
Avec Lazare Ponticelli disparaît la dernière mémoire vivante de la Grande Guerre. Cet immigré italien a combattu sur le front d’Italie, au Chemin des Dames et à Verdun pour accéder à la nationalité française en versant " l’impôt du sang " . Sa volonté d’obsèques humbles témoigne du décalage entre la demande d’héroïsation par la société et l’intériorisation de la guerre par ses principaux acteurs.
Arch. dép. Meurthe-et-Moselle, JOUR 19