Obus gravés André, Mathilde, La Fère-en-Tardenois, septembre 1918.

Pour passer le temps, les poilus ont fréquemment travaillé des engins de guerre pour en faire des souvenirs sur lesquels ils ont projeté une part d’affectif.

Ces objets ont aujourd’hui perdu leur caractère intime ; ils sont devenus les témoins de la volonté de survie dans l’enfer de la guerre.

Arch. dép. Meurthe-et-Moselle,
Coll. part.

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D.R.