L. de Mussy, « La récompense des sillons », Le Journal des sinistrés, 27 avril 1919.
Poèmes inspirés directement par les événements ou poèmes de circonstance, composés notamment pour accompagner les cérémonies en l’honneur des morts, la presse se fait largement l’écho de cette littérature propre à nourrir le patriotisme puis la mémoire. Démobilisé à Toul en 1915, Florent Schmitt, natif de Blâmont, s’inspire d’un poème du lorrain Léon Tonnelier pour composer son Chant de guerre, donné en première à l’opéra de Paris en 1918.
Arch. dép. Meurthe-et-Moselle,
JOUR 214