L. Sabatier, « Douze sous ces tomates, c’est trop cher, madame (…) », L’Illustration, n° 3 988, 9 août 1919, p. 123.

À l’image des comités de vigilance parisiens, les consommateurs s’organisent pour surveiller les prix et dénoncer les abus éventuels ; leurs revendications sont largement reprises par les associations d’anciens combattants, dont les organes de presse pourfendent régulièrement la « vie chère ».

Arch. dép. Meurthe-et-Moselle,
PER 158

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D.R.