Lettre patente du duc Léopold Ier, 1720.

Parchemin, 324 x 254 mm.

Le sceau plaqué sur ces lettres patentes, de cire rouge, est protégé par une feuille de papier, qui assure par ailleurs une meilleure conservation de l’empreinte.

Les sigillographes sont partagés sur la valeur à accorder aux sceaux en papier. Leur développement sous l’Ancien Régime marque la transition entre le sceau de cire et le timbre (tampon) au cours du XIXe siècle.

Arch. dép. Meurthe-et-Moselle, coll. service éducatif.